Yanisbarhouce@gmail.com, Author at sos medecin https://sosadomicilecasablanca.com/author/amine/ SOS Medecin casablanca Sun, 13 Sep 2020 12:30:15 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.5 https://sosadomicilecasablanca.com/wp-content/uploads/2020/09/cropped-fav-1-150x150.jpg Yanisbarhouce@gmail.com, Author at sos medecin https://sosadomicilecasablanca.com/author/amine/ 32 32 LES SERVICES SOINS À DOMICILE https://sosadomicilecasablanca.com/nous-vous-faisons-sourire-a-chaque-fois-sans-aucune-douleur/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=nous-vous-faisons-sourire-a-chaque-fois-sans-aucune-douleur https://sosadomicilecasablanca.com/nous-vous-faisons-sourire-a-chaque-fois-sans-aucune-douleur/#respond Mon, 07 May 2018 09:29:46 +0000 http://medicalpress-reborn-min.inspirydemos.com/?p=501 Chez SOS à domicile, les équipes d’intervenants à domicile sont choisies avec rigueur et minutie, selon leurs aptitudes sociales, affectives et psychologiques pour prendre en charge nos clients, et les apaiser durant cette période toujours difficile qu’est une convalescence, une maladie longue durée ou une autre situation délicate mettant leur santé en jeu. Quand ? […]

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Chez SOS à domicile, les équipes d’intervenants à domicile sont choisies avec rigueur et minutie, selon leurs aptitudes sociales, affectives et psychologiques pour prendre en charge nos clients, et les apaiser durant cette période toujours difficile qu’est une convalescence, une maladie longue durée ou une autre situation délicate mettant leur santé en jeu.

Quand ?

Nos équipes interviennent dans le cadre d’une assistance paramédicale à domicile s’avérant nécessaire suite à :

  • Une convalescence : pose de prothèse, fracture, suite de brûlures, post opératoire…
  • une pathologie lourde : sclérose en plaque, AVC, maladie de Parkinson, Alzheimer, cancer, diabète…
  • Un handicap : paraplégie, hémiplégie…
  • Une incapacité temporaire ou permanente à réaliser les gestes de la vie courante : une grossesse difficile, un âge avancé…

Nos équipes assurent également une assistance pour les soins d’hygiène à domicile, au quotidien.

Pourquoi ?

Le nursing à domicile Sos à domicile a pour vocation d’éviter l’hospitalisation des personnes âgées lors de la phase aiguë d’une affection pouvant être traitée à domicile, de faciliter les retours à domicile à la suite d’une hospitalisation, de prévenir ou retarder la dégradation progressive de l’état des personnes.
La durée et la fréquence des soins varient selon les besoins de chaque personne.

Comment ?

L’intervention à domicile peut se faire à la demande du malade, de sa famille, ou du médecin traitant qui prescrit une « Démarche de soins infirmiers ».
Le nursing à domicile Sos à domicile assure aux personnes âgées malades ou dépendantes, les soins infirmiers et d’hygiène générale, les concours nécessaires à l’accomplissement des actes essentiels de la vie, ainsi que d’éventuels soins relevant d’auxiliaires paramédicaux.

Les interventions soins SOS à domicile 

Les interventions à domicile se font sur la base du protocole de soins établi par le médecin traitant lors de la prescription des soins à domicile. Le protocole peut également être établi par notre infirmier superviseur lorsque l’intervention à domicile est souhaitée directement par la famille.
Soins SOS à domicile vous assure différents modes d’interventions à domicile :

  • Le passage ponctuel ou quotidien : le passage ponctuel ou quotidien permet d’assurer la toilette complète et la prise éventuelle des médicaments. Si le créneau horaire le permet, la surveillance ou l’accompagnement à la prise du repas sont également assurés.
  • Nursing, soins et surveillance de jour .
  • Nursing, soins et surveillance de nuit .
  • Nursing, soins et surveillance 24 heures / 24 : Ce type de service de soins à domicile continu est idéal pour les clients qui sont à risque quand elles sont laissées sans surveillance comme celles souffrant de la maladie d’Alzheimer ou d’autres conditions liées à la démence ou pour celles qui reviennent d’un séjour à l’hôpital.

Cette formule procure l’entière tranquillité d’esprit aux patients à leurs familles.
Toutes nos interventions sont disponibles autant en formule ponctuellepériodique que en 7 jours / 7.

Soins de fin de vie

Nos aidants apportent de l’aide aux personnes en phase terminale.
Nous les aidons eux et leurs familles en leur apportant un support émotionnel et moral tout en leur apportant des soins personnels et d’accompagnement – ou tout autre service dont ils ont besoin.
Notre but ultime est d’aider les familles à maximiser le temps qu’ils peuvent passer avec l’être cher, en allégeant leur fardeau dans ces moments difficiles.
Par les soins de répit, nous donnons aux soignants naturels un repos nécessaire.

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L’hospitalisation à domicile (HAD) et les soins infirmiers à domicile (SAD) https://sosadomicilecasablanca.com/498-2/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=498-2 https://sosadomicilecasablanca.com/498-2/#respond Mon, 07 May 2018 09:25:33 +0000 http://medicalpress-reborn-min.inspirydemos.com/?p=498 1) la prise en charge des soins à domicile Alternative à l’hospitalisation ou au placement en institution spécialisée, la prise en charge des soins à domicile est aujourd’hui effective pour un nombre croissant de pathologies comme les cancers, les maladies respiratoires, le diabète, la mucoviscidose ou de situations de dépendance comme le handicap… Faisons le […]

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1) la prise en charge des soins à domicile
Alternative à l’hospitalisation ou au placement en institution spécialisée, la prise en charge des soins à domicile est aujourd’hui effective pour un nombre croissant de pathologies comme les cancers, les maladies respiratoires, le diabète, la mucoviscidose ou de situations de dépendance comme le handicap… Faisons le tour des divers modes de prise en charge qui coexistent dans ce secteur comme l’hospitalisation à domicile, le maintien à domicile et les soins infirmiers ou médicaux.

La prise en charge des soins à domicile fait l’objet d’un intérêt croissant de la part des marocains. Bien qu’elle soit, selon une étude récente, peu structurée dans notre pays, la prise en charge des soins à domicile est un secteur en fort développement. Ce développement des soins à domicile paraît lié à l’allongement de la durée de vie et à l’augmentation des pathologies chroniques lourdes.De plus, la couverture des soins par l’Assurance-Maladie, les prestations d’aide à la prise en charge de la dépendance et les assurances dépendance contribuent à consolider le secteur. Il est également soutenu par un environnement politique favorable, Plan Cancer, Programme national de développement des soins palliatifs, passage à la tarification à l’activité, développement des services à la personne, augmentation des capacités d’accueil des structures de soins à domicile.De plus, dans un contexte économique difficile, les soins à domicile sont moins coûteux que l’hospitalisation conventionnelle et sont donc une des solutions pour l’Etat à la maîtrise des dépenses de santé.

2) Les différents acteurs
Alors que les soins au domicile des patients étaient exercés par les médecins depuis les années 1800, la santé à domicile amorce au Maroc un virage important dans les années 2000. Traduisant le concept américain de “home care”, quelques établissements hospitaliers et structures privées s’organisent alors pour proposer les premières places d’Hospitalisation à domicile (HAD) et assurent alors les premières prises en charge médico-sociales à domicile notamment du cancer. Parallèlement, l’activité libérale des soins à domicile est réglementée et codifiant les actes pouvant être réalisés par les « auxiliaires médicaux ».Aujourd’hui, la santé à domicile comprend plusieurs types d’intervention comme l’Hospitalisation à domicile (HAD), les soins à domicile (SAD) et le maintien à domicile (MAD). Elles se différencient notamment par rapport au degré de technicité et de médicalisation des actes pratiqués ainsi que par leurs statuts : établissements publics, associations à but non lucratif, personnels libéraux et structures privées. Ces dernières concurrencent d’ailleurs de plus en plus les structures associatives qui détenaient des positions fortes notamment dans l’HAD et l’assistance respiratoire à domicile.Bien implantées dans l’aide au maintien à domicile (location/vente de matériel) les prestataires d’assistance médicale à domicile se positionnent aujourd’hui de plus en plus sur des prestations plus techniques et à plus forte valeur ajoutée pour eux comme : l’insuffisance respiratoire, la nutrition, les perfusions, l’ insulinothérapie, la dialyse, etc. et se positionnent progressivement en tant que multispécialistes des soins à domicile.

A côté de ces acteurs principaux, des réseaux de soins interviennent également à domicile. Souvent de statut associatif, ils s’établissent grâce à la collaboration de professionnels de santé de disciplines différentes (médecins généralistes, médecins spécialistes, pharmaciens, infirmiers, kinésithérapeutes, mais aussi psychologues et travailleurs sociaux). Ces professionnels se concentrent sur la prise en charge de patients souffrant d’une pathologie ou victimes d’un problème médico-social spécifique.Ils se coordonnent pour une prise en charge globale de leurs patients, en mettant l’accent sur la prévention. Les pathologies sont le plus souvent chroniques (asthme, diabète, hypertension artérielle, dépression…) ou lourdes (VIH, VHC, cancers). Il existe aussi des réseaux prévenant et prenant en charge l’alcoolisme, la toxicomanie ou l’aide aux populations en difficulté. Ils possèdent leur propre système de financement (à base de subventions essentiellement).L’aménagement de l’habitat.
3) les soins infirmiers à domicile comportent (SAD)
– des actes qui contribuent au diagnostic infirmier, des actes médico délégués de première intention qui ne nécessitent pas d’hospitalisation (prélèvements pour examens biologiques, surveillance d’évolution de patients, conseil, suivi de maternité, vaccins, etc., et tous les actes médico-infirmiers quotidiens de première intention, etc.) – des actes qui permettent de traiter en ambulatoire les pathologies aiguës itératives (infectieuses, protocoles antibiothérapies simples ou complexes, pansements simples ou complexes, réhydratation, etc.)
– le suivi de pathologies chroniques et l’éducation des patients et de leur entourage en ambulatoire leur permettant une socialisation correcte et une qualité de vie (diabète, HTA, pathologies relevant de la psychiatrie, pathologies vasculaires dégénératives, dermatologie, plaies chroniques, etc.)
– le maintien et/ou retour à domicile des patients dépendants. La prise en charge à domicile des patients dépendants en coordination avec les intervenants de ville et le médecin traitant (prévention d’escarres, surveillance et veille clinique).
– le retour à domicile de patients hospitalisés pour des pathologies aiguës ou des traitements chirurgicaux ainsi que des patients considérés en phase palliative.
– le relais ambulatoire des cures de chimiothérapie anticancéreuses initiées en hospitalisation de jour (actes de haut niveau de technicité, surveillance de l’état clinique du patient, prévention des complications liées aux cytotoxiques, bilans nutritionnels, etc.) en lien avec les services d’oncologie et le médecin traitant.

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URGENCE À DOMICILE : LES BONS RÉFLEXES https://sosadomicilecasablanca.com/image-post-format/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=image-post-format https://sosadomicilecasablanca.com/image-post-format/#respond Tue, 20 May 2014 10:55:42 +0000 http://inspirythemesdemo.com/medicalpress/?p=77 Engorgés, les services des urgences sont en effet régulièrement sollicités pour des cas ne relevant pas de l’urgence médicale. Une situation d’urgence, c’est un pronostic vital engagé dans un espace temps réduit. C’est aussi une situation qui appelle une réponse rapide et efficace en attendant une intervention médicale afin de garantir le maximum de chances […]

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Engorgés, les services des urgences sont en effet régulièrement sollicités pour des cas ne relevant pas de l’urgence médicale. Une situation d’urgence, c’est un pronostic vital engagé dans un espace temps réduit. C’est aussi une situation qui appelle une réponse rapide et efficace en attendant une intervention médicale afin de garantir le maximum de chances de survie au patient.

Les recommandations de bonnes pratiques :

Face a la grande hétérogénéité des situations d’urgence et, paradoxalement, à l’absence de protocoles concernant ces problématiques, cette série d’actions et d’actes de surveillance infirmiers indique face à différentes situations précises en attendant une intervention sont autant d’outils de bonnes pratiques a disposition des infirmiers qui se retrouvent seuls face a une situation de détresse médicale.

Symptomatologie et bilan de la situation

Perte de conscience, accident vasculaire cérébral, brûlure grave, convulsion, accouchement, oedème aigu du poumon… il existe un grand nombre de situations d’urgence. Mais, on doit d’abord et surtout se concentrer sur la symptomatologie et non pas se lancer dans un diagnostic pour lequel il n’a pas été formé. Attachez-vous davantage à la notion clinique. C’est important pour ne pas vous mettre en porte-à-faux au moment où il faudra expliquer votre situation à d’autres interlocuteurs. C’est pourquoi la première chose à faire pour l’infirmière face à l’urgence est de dresser le bilan de la situation. Vérifiez trois choses primordiales : la respiration, la conscience et l’activité cardiaque. Méfiez-vous de certaines situations qui peuvent tromper votre interprétation : une personne sourde, un patient mutique, un individu atteint de troubles psychiatriques mais aussi des simulateurs.

Vous pouvez, en cas d’interrogation sur son état de conscience, le stimuler. N’oubliez pas que l’inconscient peut aussi réagir quand on lui fait mal : cela permet de coder son niveau d’inconscience. Si l’une ou l’autre de ces trois fonctions est amputée, il faut considérer que l’on fait face à une situation d’urgence, dont l’analyse doit absolument être complétée par la contextualisation.

Il s’agit de décrire la scène que l’on a sous les yeux et toutes les informations dont on dispose concernant le patient. Ces éléments peuvent aider les secours à comprendre ce qui a pu se passer et à anticiper la prise en charge. Ainsi, si un patient, dont on connaît la dépression, est retrouvé seul chez lui, entouré de bouteilles et de médicaments, il y a lieu de s’interroger s’il ne s’agit pas là d’un suicide. À ce bilan circonstanciel doit par ailleurs être joint un bilan lésionnel, signalant tous les éléments d’observation tels qu’un saignement, la présence d’un hématome… Ce sont tous ces éléments qui permettent de convaincre l’infirmière qu’il fait face à une situation d’urgence et lui permettent ensuite de donner une alerte « argumentée ». Et, sur ce point, le formateur a été catégorique : On ressent parfois chez les infirmiers la crainte d’appeler le Samu. N’ayez pas d’inhibition ! Même si vous signalez une situation qui pourrait s’avérer non urgente, ce service existe précisément pour trancher sur cet état des lieux.

 » Les bons réflexes, et prévenir le bon intervenant… celui qui est immédiatement disponible « 

Le plus important est de justifier tous ses actes

Appeler le Samu pour donner l’alerte, certes, mais aussi pour vérifier, si besoin est, que les gestes de premier secours que l’infirmière s’apprête à pratiquer sur le patient sont justifiés. Car, outre les positions adaptées à effectuer dans l’attente des secours médicalisés, l’infirmier, en fonction de son équipement et de la situation, peut réaliser toutes sortes d’interventions techniques et précises comme le massage cardiaque, l’assistance ventilatoire, l’aérosol pour l’asthme…. De nombreux gestes relèvent en effet des compétences reconnues de l’infirmier. Le plus important est de justifier tous ses actes. Ne prenez pas d’initiatives intempestives. Et, une fois que vous avez appelé, restez sur place, jusqu’à ce que les secours arrivent afin d’assurer la coordination et la transmission des données aux professionnels de l’urgence.

Les étapes à retenir

  1. Bilan (respiration, conscience, activité cardiaque).
  2. Alerte argumentée. La Mutuelle d’assurances rappelle qu’il peut être opportun « d’établir un compte rendu écrit détaillé afin de tracer les événements et les mesures prises ». Elle rappelle aussi la nécessité, pour les infirmiers, de ne pas sortir de leur champ de compétences.
  3. Positions adaptées et/ou interventions techniques (perfusion, massage cardiaque…).

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VACCIN CONTRE LA GRIPPE : COMMENT ÇA MARCHE ? https://sosadomicilecasablanca.com/quote-post-format/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quote-post-format https://sosadomicilecasablanca.com/quote-post-format/#respond Sun, 18 May 2014 10:52:49 +0000 http://inspirythemesdemo.com/medicalpress/?p=92 Souvent banalisée, la grippe n’est pourtant pas une maladie anodine. Une vaccination, à refaire chaque année, est donc recommandée chez les personnes à risque de complications si elles contractent un virus grippal. Qui sont-elles ? Que contient le vaccin contre la grippe ? Est-il efficace ? Qui peut vacciner ? On fait le point. Grippe… […]

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Souvent banalisée, la grippe n’est pourtant pas une maladie anodine. Une vaccination, à refaire chaque année, est donc recommandée chez les personnes à risque de complications si elles contractent un virus grippal. Qui sont-elles ? Que contient le vaccin contre la grippe ? Est-il efficace ? Qui peut vacciner ? On fait le point.

Grippe… Ce mot oublié pendant quelques mois se rappelle à notre bon souvenir en octobre, quand démarre la campagne de vaccination. Celle-ci se poursuit généralement jusqu’à fin janvier.

Que contient le vaccin contre la grippe ?

Le vaccin contre la grippe est fabriqué à partir de virus inactivés. Il ne contient pas de virus vivant, « il n’y a donc aucun risque de transmission de la grippe par le vaccin ».

Sa composition est définie chaque année pour s’adapter aux virus grippaux qui peuvent circuler, ces derniers étant très changeants. C’est l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui est chargée, en amont, de leur surveillance. La composition du vaccin antigrippal pour l’hiver 2019-2020 a été modifiée par rapport à celle de l’année précédente. Elle comprend des virus appartenant aux souches suivantes :

  • virus de type A/Brisbane/02/2018 (H1N1) pdm09
  • virus de type A/Kansas/ 14/2017 (H3N2)
  • virus de type B/Colorado/06/2017 (lignée Victoria/2/87)
  • complétée de la souche du virus de type B/Phuket/3073/2013  (lignée Yamagata/16/88) pour les vaccins tétravalents (qui protègent contre quatre types de virus).

Pour la campagne de vaccination 2O19-2020, deux vaccins tétravalents sont disponibles et pris en charge : InfluvacTetra et VaxigripTetra.

Un vaccin trivalent, Influvac, contenant les deux souches A et la souche B de la lignée Victoria est également disponible, mais en quantité limitée.

Quand faut-il faire le vaccin contre la grippe ?

Dès qu’il est disponible en pharmacie, avant la circulation active des virus grippaux (à partir du 15 octobre cette année). Son efficacité couvre largement la période épidémique. Une seule injection est nécessaire.

Peut-on se faire vacciner si l’épidémie a commencé ? Oui, « il est toujours possible, et temps, de se faire vacciner », précise l’infectiologue.

Le vaccin antigrippal présente-t-il des risques ?

Au rang des effets indésirables, « il peut y avoir une douleur locale, puisqu’il s’agit d’une injection, ainsi qu’une petite rougeur. Deux ou trois jours après la vaccination, on peut noter un léger pic de température, temporaire, sur 24 heures ».

Comment agit le vaccin antigrippal ?

L’organisme, au contact des fractions du virus rendu inoffensif, va développer des anticorps, défenses immunitaires spécifiques qui le protégeront face au virus. Compter « environ 15 jours après la vaccination pour être protégé contre la grippe », le temps que le système immunitaire réagisse.

Qui a vraiment intérêt à se faire vacciner contre la grippe ?

  • Les personnes de plus de 65 ans,
  • les personnes (dont les enfants dès l’âge de 6 mois) souffrant de maladies chroniques (insuffisance respiratoire ou cardiaque, asthme, diabète, mucoviscidose…),
  • les patients ayant une diminution de l’immunité,
  • les femmes enceintes, quel que soit le trimestre de la grossesse,
  • les personnes obèses,
  • les professionnels de santé,
  • et les personnes travaillant sur des bateaux de croisière ou des avions.

Pour ces personnes à risque, les modalités de vaccination ont été simplifiées : la personne reçoit à son domicile l’infirmier, elle peut retirer le vaccin directement chez le pharmacien sans consultation médicale, même s’il s’agit de sa première vaccination antigrippale.

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